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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 01:49

 

J'avais pris comme rituel du soir, de faire un exercice de méditation basé sur la respiration. Mais je n'avais jamais le temps de faire l'exercice dans sa totalité, tout simplement parce qu'il avait le don de me détendre, et si bien que je m'endormais en cours de son exécution.

Un jour, en pleine journée je décide de faire différents exercices qui me semblait très intéressant. Et je parvint à les faire jusqu'aux bout. Mais une chose étrange c'est produite, lors des exercices je me suis entièrement connecté à moi-même, j'habitais entièrement et totalement mon corps, j'avais soudainement conscience de mon corps et de mon esprit ensemble...C'était nouveau pour moi cette sensation qui m'emportais dans un état de bien-être. Tellement bien, que d'un coup ma conscience me fit regarder en quelques secondes le chemin parcourut, et là... mon ventre s'est contracté, ma poitrine s'est oppressée, ma gorge s'est serrée et me yeux ont commencés à se noyer.

J'étais en train de prendre conscience, oui conscience de comment avais-je pu pendant tant d'années m'oublier à ce point, le constat m'en été horrifiant! Tout ce que j'avais pu donner aux autres avec tant d'amour et de bonté, sans même penser ni me donner à moi avant tout. je laissais s'effondrer ce barrage, et l'eau coulait sur mes joues sans que je ne retienne rien et je me suis surprise à me demander pardon. Je me demandais pardon pour t'en d'oublie à mon égard, en voulant être là pour les autres. Inconsciemment, pensais-je que si je faisais le bien autour de moi, on ne pourrai que m'aimer? Et que le bien que je donnais aux autres me suffisais à être bien? Je croyais exister en faisant ce que je pensais de bien? Alors j'ai donné, donné, sans me mettre de limite, d'ailleurs je ne les connaissais même pas... Je ne regrette rien de tout ce que j'ai pu donner aux autres parce que je l'ai fais avec tout mon amour. Mon Dieu, tout ce que j'ai enduré petite fille pour en être arrivé là adulte, par tant d'oublie de moi-même. J'ai alors regardé cette petite fille et j'ai couru vers elle, et je l'ai serré très fort contre moi en lui demandant pardon, pardon ce n'est pas de ta faute. Et tout en la serrant fort contre moi je lui ai dit que maintenant qu'elle passerait toujours en premier et qu'elle aura toujours tout l'amour dont elle à besoin et qu'elle pourra toujours compter sur moi, et que maintenant nous ne feront plus qu'une. J'ai cessé de fuir et avec courage je remet les choses à leurs places.

En pratiquant ces exercices j'ignorais totalement où ils me conduiraient, j'en attendais une connexion profonde avec mon corps, mais ça a aussi déclenché en moi se phénomène auquel je ne m'attendais pas, mais qui finalement aura été ma plus belle rencontre.

Stéphanie Hébert

 

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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 01:45

Paysage saisissant entre Terre et Mer,

Où règne une sereine atmosphère,

Et sentir cette douce lumière pénétrante,

Par une promenade des plus envoûtantes,

Un émouvant royaume de nature, invitation à la rêverie,

Dans cette cathédrale de verdure, une terre de poésie,

Respirer ce souffle de liberté et s'enfoncer avec plaisir,

Dans la beauté, l'harmonie des couleurs, se laisser envahir,

Au sein d'une végétation luxuriante en dédale,

Et être dans une grande immersion la plus totale,

Le silence paisible écoute les bruits de la nature,

Emporté par les songes naissent peintures et écritures,

Maisons blanches aux volets bleus posées là, prêtes à partir,

Et conter le temps d'un fabuleux voyage, histoires et souvenirs,

Bien assis dans une plate qui avance lentement,

Poussé par la pigouille qui s'enfonce doucement,

Bercé sur ces eaux si tranquilles,

Sous les yeux splendeurs défilent,

Sentir le bateau glisser sur un lit de lentilles d'eau,

Joli tapis vert flottant sur les conches et les canaux,

Frênes Têtards, Vergnes et Peupliers gardiens des berges,

Dans une symphonie orchestrée d'oiseaux, ici gamberge,

Le petit pont de la mine d'or,

Le Marais Mouillé, son port,

En toute saison, beauté offerte,

De cette belle Venise Verte.

 

Stéphanie Hébert

 

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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 01:43

 

De son surnom Spoti, cet électricien fut chargé de l'installation des luminaires dans une discothèque située dans les caves restaurées d'un grand bâtiment. Il avait réunit toute la panoplie qui lui avait été fournit sur une liste.

Il commença d'abord par lire les plans à l'aide d'une liseuse afin de faire connaissances avec les lieux.

 

Une fois accomplit, il s'enfonça dans l'obscurité totale munit d'une lampe frontale, dont il n'avait pas vérifié l'état des piles qui celles-ci ne tardèrent pas à donner des signes de faiblesses. Mais comme tout bon électricien, il ne se laissera pas surprendre par une panne imminente d'éclairage qui plane et menace à tout moment.

 

Sur ce, il fouilla dans ses poches et en sortit une petite boite d'allumettes qui semblait bien maigre...Bref... Avec toute les fournitures dont il disposait, cela ne le préoccupa pas une seconde. Il craqua une allumette et fit flambé dans un premier temps une torche, pour dans la foulée allumer une lanterne à pétrole flambant neuve, et quelques balises afin d'y voir plus clair.

 

Il pouvait enfin commencer à disposer les différents éléments pour l'éclairage comme cela lui été indiqué sur les plans.

Il commença à installer les appliques contre les murs et continua par des suspensions et des spots au dessus des pistes, et de l'emplacement prévu pour le DJ. En suivant il mit des plafonniers au dessus du bar, et quelques lustres dans l'espace réservé pour les fauteuils et tables basse (bah oui ce coin ou on se réunit pour se poser et crier dans l'oreille de l'autre, et se désaltérer d'une chope d'eau bien fraîche remplit de glaçons et d'une paille pour les filles, évidemment tout le monde fait ça...lol).Il posa également des guirlandes en tout genre sur les encadrements, sans oublier des lampadaires tendances du coté des vestiaires.

 

Le temps de faire tous ces montages, la lanterne avait brûlé tout le pétrole, et d'un coup s'éteignit. Tant qu'à la torche et les balises elles s'étaient consumées comme des bougies et ne tardèrent pas à s'éteindre les unes après les autres. Il se dépêcha alors de courir vers le disjoncteur pour enclencher le bouton de mise en service.

 

Et là.... Surprise!!!! Rien.....rien ne s'alluma!!!! Il se précipita donc refaire le tour des installations pour vérifier les branchements, mais tout semblait correct, quand soudainement... il s’aperçut qui lui manquait l'essentiel!!!

LES AMPOULES!!! Mais voilà que la dernière balise s'éteignit à son tour... Alors Spoti perdu dans le noir, plongea sa main dans sa poche pour en extirper la petite boite d'allumettes qui déjà tout à l'heure sonnée bien creux, mais dont il n'avait pas porté attention.

 

Il restait, une, petite allumette, la dernière qui se brisa sous ses doigts agités dans son empressement. Et Spoti resta dans l'obscurité des caves, jusqu'à ce qu'il en trouva la sortie à taton.

Le moins que l'on puisse dire de Spoti, c'est que pour un électricien c'est vraiment pas une lumière!!!!

 

Stéphanie Hébert

 

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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 01:27

 

Regarder la vie s’écouler,

Comme on regarde un sablier,

Qu’on ne voit même plus,

Les habitudes ont pris le dessus,

Espérer de nos espoirs sans savoir,

Mais qu’importe toujours y croire,

Qu’il fasse jour ou bien tout noir,

Ils sont une signature dans nos mémoires,

Sommeil éveillé pour ne perdre aucune miette,

Parsemée au gré du temps qui nous guette,

Consumer chaleureusement le doux temps impartit,

Comme la flamme chatoyante caresse la cire de la bougie,

Chaque jour la routine servit en tartine,

Se demandant pourquoi on patine,

Il est tout proche le rêve en platine,

N’attendons pas que les choses nous piétinent,

Prenons conscience de notre inconscient en sourdine,

Que la vie un jour, un temps nous délivre,

Pour simplement pleinement vivre,

On n’est jamais maître du temps, pas même un instant,

Mais on sera toujours maître de soi-même,

Alors écoute toi et fait ce que tu aimes,

Risque-toi à vivre avec la force d’un fauve,

Tes peurs prendront le fondant d’une guimauve,

Ça fait palpiter nos cœurs de porcelaine,

Ça enflamme nos ventres en pelote de laine,

ça libére nos coeurs cloitré dans une vie,

Qui ne corresepond pas ou plus à nos envies,

Souffle de liberté, c’est ça vivre à travers le temps,

Aller plus ou moins vite mais se dire qu’il est tant…

 

Stéphanie Hébert

 

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 16:10

 

On se dit et on s'écrit

Notre amitié à l'infini

Avec le cœur en qui demeure

Nos plus belles et fidèles valeurs

 

On se donne et on reçoit

Un peu dépourvu parfois

Par les mots qui nous harponnes

Et malgré nous, nous désarçonnes

 

Ces mots qui de bonheurs

Nous touches en plein cœur

Où on voudrait renvoyer l'ascenseur

Avec le souhait de mots à la hauteur

 

Mais il n'existe dans les mots de hauteur

Ni même des mots à la hauteur

Les mots ne sont qu'un moyen de locomotion

Qu'importe leur quantité, ils ont pour mission

 

A travers eux de pouvoir faire sentir

Tout ce que le cœur peut nous dire

C'est dans les sentiments qui nous foulent

Et dans les émotions qui en découlent

 

Que réside la bonne et juste hauteur

Alors surtout, surtout n'est pas peur

De te trouver sans mot et démunit

De toi à moi cela m'arrive aussi

 

Et si comme un vertige on ressent

C'est un partage réussit tout simplement

Qu'importe les mots, car avec ou sans l'important

Reste de transmettre nos émotions et sentiments

 

C'est celà et juste celà la véritable hauteur...

 

Stéphanie Hébert

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 16:07

 

Sur mon île, douceur et tendresse te seront offertes

Les étendues de prairies y sont toujours bien vertes

Tu pourras flâner dans une kyrielle de jardins en fleurs

Te détendre et y respirer une myriade de senteurs

 

Tu pourras entendre et voir les oiseaux siffleurs

Qui de leurs chants égayent les saules pleureurs

Sur mon île j'ai soustrait le sel de la mer

Que les larmes ne soient jamais plus amères

 

Que jamais plus elles ne déchirent de douleurs

Que celles versées soient douces de bonheur

Sur mon île un soleil victorieux brille de mille feux

Dans un ciel azur où dansent nuages moutonneux

 

Aux aurores j'écris sur des feuilles de bananiers

Avec des cendres bleutées en guise d'encrier

L'âme pure, dans toutes ces lettres

J''y écris l'amour mon seul baromètre

 

Sur mon île un sable jaune d'or

S’y trouve le plus beau trésor

Il n'y a pas un soupçon de galère

Pas même sur le quai de l'embarcadère

 

Il est juste pourvu d'une barque

Quand de mon nuage je débarque…

 

Stéphanie Hébert

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 15:49

 Amateurs de vins, c'est la tournée des vignobles, dans une histoire imaginaire toute simple où certains mots prennes un nom de terroir. A lire sans modération...

Trois copines partent en vacances, s'entendent plutôt bien

et pourtant toujours en train de se crêper le Chinon.

Une était vêtue d'un beau Corbière à lacets,

l'autre une Juliènas Fleurie et la troisième Vacqueyras à ses occupations

qui étaient d'attacher ses cheveux avec un long Corton Charlemagne.

Toutes trois avaient un visage de Minervois, et une fois prêtes,

Prirent la route, quand au bout de quelques kilomètres

un Bourgueil brandit des Faugères et traversa la route.

Résultat la voiture dans le Buzet, le moteur Cahors et

la carrosserie entièrement Pouilly-Fuissé.

Les deux autres de peur Madiran ainsi

mais ça va pas!!! t'es complètement Givry!!!

on s'est Cognac de partout et maintenant comment Fitou?

On est perdu au beau milieu de la Champagne et pas

un seul Pineau de direction en vue,

Zut!!! Mercurey!!!

Oh! arrêtez....... Y en a Marsannais, les Jurançon ne changeront

rien au Pétrus et vous en avez Pommard de tout le temps

être en train de Chablis? On va pas Ruinart nos vacances.

Quand d'un coup la conductrice se Santennay mal.

Les Pomerol blanches comme un linge, Le fronton en sueur,

le ventre Brouilly, les sourcils Fronsac et pas un Médoc pour la soulager.

Puis elle nous dit ça va il y a rien de Graves.

Elles prirent alors la route à pieds et Marange pour chercher de l'aide,

quand une voix dit d'une Languedoc d'un Roussillon ... j'ai soif quelqu'un a pris à boire?

Et d'une voix Sancerre moi non et toi? Yquem moi non plus.

Super!!! Aucune de nous n'a pris la Gigondas et maintenant

on va Meursault en plein Cassis les Côtes Rôties.

Mais attendez!!! vous voyez ce que je vois?

Une Bergerac, il doit sûrement y avoir un Gevrey Chambertin.

Alors elles firent la Touraine de la Bergerac, et un homme était bien là, fusil Anjou.

D'une voix tremblante.... On Vouvray juste de l'aide pour la voiture

qui est Tavel dans le Buzet à cause d'un Bourgueil.

Oui! Ça arrive souvent sur la descente de Châteauneuf-du-Pape,

et il Bandol un téléphone de sa poche pour appeler du Saumur.

Les vacances commençaient plutôt Loupiac,

mais elles étaient toutes les trois Sauternes.

Ah!!! Saint Amour de vacances débutaient vraiment

au coucher de la Nuit Saint Georges.........

Stéphanie Hébert

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 12:20

 

Je me suis assise sur le rebord de mon cœur, et dans le silence je l'ai écouté durant des heures.

Et d'une voix douce et calme il m'a chuchoté:

Crois tu, que si tu es triste ou blessé, c'est à cause de l'amour?

Crois tu, que si tu es triste ou blessé c'est parce que ces émotions proviennent de l'amour et que si en toi tu n'avais pas cet amour tu serais ni triste ni blessé?

Allons souviens toi! L'amour c'est beau... c'est se sentir pousser des ailes... c'est la liberté qui caresse de son souffle... Les émotions que tu éprouves ne viennent donc pas de l'amour!

Elles viennent de l'Attachement que tu associes à l'Amour.

L'Attachement c'est se rendre dépendant de l'autre et inconsciemment s'emprisonner soi-même et l'autre dans cette dépendance.

Tu aimes entendre les oiseaux chanter! et pourtant tu n'es pas triste quand il s'arrêtent?

Tu aimes voir la grâce de leurs envolent! et pourtant tu n'es pas triste quand ils s'en vont?

Tu aimes tout ça, et pourtant si demain ils ne sont pas sous ta fenêtre, tu ne seras pas triste pour autant?

Tu seras contente quand tu les verras librement venir à nouveau, chanter dans le jardin le jour d'après!

Alors pourquoi accorder autant d'importance à l'Attachement?

De l'Attachement résulte la dépendance, L'attente, la déception, la blessure et inévitablement la souffrance.

Cela revient à s'enfermer dans une cage aux barreaux invisibles mais existant, qui empêche de déployer ses ailes comme tu l'aimes, et comme l'oiseau voler, chanter, aimer librement.

Dissocie l'Amour de l'Attachement et tu seras dans un Amour absolu et de toute beauté. D'ailleurs ne dit on pas de l'amour qu'il ne se commande pas, qu'il ne s'oblige pas! L'amour est liberté et c'est ce qui en fait toute sa beauté.

L'Attachement c'est croire d'avoir le pouvoir de la possession de quelque chose, alors que le plus important que l'être humain ai oublié, c'est que son plus grand pouvoir c'est la possession de sa liberté!

Alors j'ai compris que plus je donnais de l'importance à l'Attachement, plus grande sera la souffrance.

Alors qu'en concentrant mon énergie sur l'Amour absolu donc libre (dans l'immensité, comme un oiseau, sans attachement), une entière liberté de mon être peux choisir de donner et de recevoir de l'amour sans rien ôter de la liberté à l'autre. Et surtout je suis dans l'amour de moi-même qui me permet d'être au cœur de ma liberté...

Alors j'ai compris toute l'importance du verbe "aimer" et de la nécessité d'en évacuer l'ancrage avec le verbe "attacher". Car dans l'amour absolu et véritable il est nul besoin d'attachement, car l'amour sait que tu es dans celui de l'autre, et chaque individu est libre dans l'amour de lui même et celui qu'il porte à l'autre.

Stéphanie Hébert (réflexion personnelle)


 

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 15:45

 

Le temps s’écoule sur la pendule

Son tic tac se fait le préambule

D’une immersion à ne plus entendre

Que la mélodie du silence que j’arpente

 

Pour me glisser dans les profondeurs

Au rythme du tam-tam de mon cœur

Qui m’invite dans une de ses danses

Où je me laisse aller dans sa transe

 

Au milieu des sentiments qui me renversent

Des émotions qui de part en part me traversent

Pour m’imprégner de chaque flot ressentit

Et en extraire le nectar de ce fruit

 

Alors ma plume délicate flirte sur la feuille

Pour en refléter avec des mots ce recueil

Tout provient de l’intérieur

Le cœur est le plus fidèle penseur

 

La tête n’est que le meilleur passeur

Pour mettre en harmonie et en lueur

Ce que le cœur transpire

C’est ça l’art d’écrire

 

Ecrire, être attentif à sa sensibilité

Ecrire c’est l’art d’aimer…

 

Stéphanie Hébert


 

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 02:53

 

Je viens te souhaiter une bonne et paisible nuit de sommeil,

Car, quand au matin t'appellera la fanfare du réveil,

Respire, sourie et sent à l'intérieur ton rayonnant soleil,

 

Chaque jour est une belle journée pleines de merveilles,

Ecoute-toi, ressent-toi, entend chanter ton éveil,

Oh! oh! je vois déjà sautiller,danser tes orteils,

 

Je vois bien que tu as le sourire jusqu'aux oreilles,

Buvons nos éclats de rires à pleine bouteille,

Ils fleuriront le cœur de miel de ma petite abeille,

 

Prend le temps, l'horloge n'est qu'un appareil,

Vivre l'instant présent, lui est sans pareil,

Inutile d'avoir le cerveau comme les bras de Popeye,

 

Elle crie la tête martelée dans cette corbeille,

La fatigue aux abois, ont nichées les corneilles,

Au refrain sans faille du soutien, je les effrayes,

 

Le sirop de tes rêves et de tes envies se délaye,

Pour t'offrir des journées parfumées qui t'égaye,

Que chaque souffle de vie t'émerveille...

 

Stéphanie Hébert

 

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  • : Lilou (Stéphanie Hébert)
  • : L'amitié est une chose rare et précieuse, et je remercie mon amie alias ma Louloute pour m'avoir redonner le goût et l'envie d'écrire, d'avoir été et d'être là....
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